
Préambule
Petit village à vocation rurale, Baromesnil fait partie du canton d'Eu. De nos jours, environ 250 habitants résident dans cette commune de Haute Normandie, perchée à 124 mètres, sur une superficie de près de 8 km² (soit 31habitants/km²). Enclavé entre les paroisses de Mesnil-Réaume et de Saint-Martin, dont dépendait le hameau du Tôt, ce n'est tardivement que Baromesnil devint une paroisse.
Anciennes cartes postales de Baromesnil (suite)
L'église Notre-Dame de la Nativité à Baromesnil
Saga familiale à Baromesnil
Les registres paroissiaux
de 1589 à 1696, et ceux de 1711 à 1735 ayant été détruits, la recherche
de nos
ancêtres en cette commune ne s'est pas trouvée facilitée.
Le point de
départ fut la naissance de Marie Madeleine LANGLET (sosa 237) dont le
nom fut également écrit LANGLOIS, née à Baromesnil le 7 avril 1767 du
légitime mariage entre Jean LANGLET, veuf en premières noces de
Margueritte WATTEBLED, et Marie Catherine ABRAHAM de la paroisse de
Saint-Rémy-en-Campagne. Jean LANGLET était le fils de Jean Baptiste
LANGLET, tisserand, et de Marie Françoise ROBART, elle-même fille de
Laurens ROBART et de Catherine CONSEIL, nés vraisemblablement vers
1680, lesquels se marièrent à Baromesnil le 7 janvier 1708.
Sur le registre paroissial,
le curé a écrit "se sont mariés du consentement de leus parents", mais
ces derniers n'ont pas signé ou apposé leurs marques sur le registre.
Il est vrai que l'épousée était enceinte de six mois, ce qui n'avait
pas du plaire à Messire TURBAN, curé de Baromesnil, et aussi aux
parents des mariés.
Faisons un bond de 84 ans dans le temps. Nous sommes le 21 novembre
1792, à Graincourt où la baromesniloise Marie Madeleine LANGLET, citée
plus haut, va épouser Charles VILLY, paroissien de Graincourt, avec qui
elle aura sept enfants, mais ceci est une autre histoire dans un autre
village...
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